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art, peinture, photographie, cinéma, esthétique, critique d'art, expositions, visites de galeries, tout ce qui concerne les arts plastiques en général

Rémy ZAUGG

  Rémy Zaugg
dépeindre

CONSTITUTION D'UN TABLEAU :
Esquisses perceptives du tableau La Maison du pendu peint par Cézanne en 1872-73.

                   
                   
R É M Y   Z A U G G
 clic  clic  clic  clic    clic  clic  clic  clic  clic
                   
                   
La Maison du pendu,  Cézanne


illustrations  :  Rémy.Zaugg  extraites de  la Revue de Littérature Générale, 95/1,  P.O.L,  1995,  p 343/351
                   

                 
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K
Vous évoquez "cérébralité" et "sensibilité". Peut-être qu'on peut y ajouter la dimension imaginaire. Ce qui paraît cérébral dans les oeuvres de Zaugg semble souvent avoir trait à l'imagination plus qu'à l'intellect...
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E
Je n'avais pas compris qu'il fallait cliquer sur les lettres, maintenant tout s'éclaire et je trouve le texte fabuleux, quoique un peu illisible au début.
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H
Je…vois cette série de Zaugg  et ce traitement assez étonnant du matériau, toujours dans la même perspective du «je vois», «cécité», «regarde», «je suis aveugle», etc.Rémy Zaugg est quelqu’un qui m’a toujours passionné. Mort récemment. Je me rappelle (entre autres) une de ses expositions, il y a quelques années à la galerie cent-8 à Paris (galerie tout en longueur où ses tableaux étaient accrochés les uns derrière les autres, comme une litanie) ; tableaux traitant justement du voir (ici, je, un tableau, je vois, etc.)Son travail est à la fois cérébral, effectivement, mais également d'une grande sensibilité.
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P
Zaugg, je me souviens avoir accroché un de ses tableaux récents sur les murs d'un collectionneur, galvanisé et embouti comme un panneau de signalisation, peint de manière industrielle il avait ce carractère fruste des objets de l'industrie. En demi teinte la phrase énigmatique, presque illisible évocant Schakespeare: "quand fondra la neige, où ira le blanc". Séduction rèche, à la fois formelle et très cérébrale.
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